MÉDIAS

Étude, version de concert Pour 6 musiciens

Version de concert pour 6 musiciens (cor, trompette, trombone, alto, violoncelle, contrebasse)

1997

Durée : 25’

Création : 1998 / Théâtre National du Châtelet (Paris)
Ensemble Intercontemporain

Éditions Transatlantiques

 La partition est extraite de la création musicale et chorégraphique, intitulée également Etude, créée au Centre Georges Pompidou en décembre 1995, sur une chorégraphie de Nadine Hernu, avec les musiciens de l’Ensemble Intercontemporain. Les principales séquences de l’oeuvre originale, qui dure 45 minutes dans la version chorégraphique, sont ici agencées en une version de concert réduite. D’autres agencements sont envisageables, parmi les séquences en solo, duo, trio et sextuor constituant la partition originale complète, selon le choix des interprètes qui doivent alors respecter certaines contraintes de transitions et de succession.Bien que rigoureusement et intégralement écrite, la musique peut parfois prendre une allure d’improvisation individuelle ou collective, à la manière des petites formations de Jazz. La similitude ne va pas plus loin et n’affecte ni le plan mélodico-harmonique, ni même le plan formel. Il s’agit plus d’une manière d’écrire induisant d’elle même chez les musiciens – au-delà des difficultés techniques – un comportement de complicité, de plaisir de jouer et d’apparente liberté.

Patrick Marcland

Étude, version de concert Pour 6 musiciens

Version de concert pour 6 musiciens (cor, trompette, trombone, alto, violoncelle, contrebasse)

1997

Durée : 25’

Création : 1998 / Théâtre National du Châtelet (Paris)
Ensemble Intercontemporain

Éditions Transatlantiques

 La partition est extraite de la création musicale et chorégraphique, intitulée également Etude, créée au Centre Georges Pompidou en décembre 1995, sur une chorégraphie de Nadine Hernu, avec les musiciens de l’Ensemble Intercontemporain. Les principales séquences de l’oeuvre originale, qui dure 45 minutes dans la version chorégraphique, sont ici agencées en une version de concert réduite. D’autres agencements sont envisageables, parmi les séquences en solo, duo, trio et sextuor constituant la partition originale complète, selon le choix des interprètes qui doivent alors respecter certaines contraintes de transitions et de succession.

Bien que rigoureusement et intégralement écrite, la musique peut parfois prendre une allure d’improvisation individuelle ou collective, à la manière des petites formations de Jazz. La similitude ne va pas plus loin et n’affecte ni le plan mélodico-harmonique, ni même le plan formel. Il s’agit plus d’une manière d’écrire induisant d’elle même chez les musiciens – au-delà des difficultés techniques – un comportement de complicité, de plaisir de jouer et d’apparente liberté.
Patrick Marcland